• Passer au statut de professionnel

    Cette période fût remplie de questions…

    Passer au statut de professionnel, cela ne se fait pas sur un coup de tête. Mais d’un autre côté, je devais faire un choix pour pouvoir faire des reportages et être payé pour cela.

    Une fois la décision prise, il faut faire toutes les démarches administratives nécessaires. Se renseigner sûr les déclarations pour la TVA, les cotisations sociales, etc.

    Un nouveau monde s’ouvre à moi, c’est le saut dans l’inconnu. Le stress monte, les questions affluent, les doutes…

    Mais je garde en tête que mon premier objectif, c’est de financer ma passion. Dans un premier temps, je serai en activité indépendant complémentaire. Cela me permettra de garder mon travail à temps plein et un revenu régulier. Ensuite, en fonction de l’évolution de ma situation, je pourrais éventuellement changer.

    Ainsi, me voilà dans un statut m’autorisant à faire des prestations rémunérées.

    Ainsi débute un autre chapitre de mon histoire photographique…

    Publicité
  • Mes premiers pas en studio…

    Durant les quelques années durant lesquelles j’ai suivi des cours du soir en photographie, j’ai pu expérimenter la photo en studio.

    Ce fût une vraie découverte pour moi d’apprendre à travailler avec la lumière artificielle et la maîtriser précisément afin d’obtenir le résultat souhaité.

    Un soir où notre professeur nous expliquait les différents types de lumière, j’ai écouté attentivement sans prendre une seule note. J’étais absorbé par ses paroles. Cette nuit-là, me rappelant le cours et ne pouvant pas m’endormir, j’ai noté toutes les informations données par notre professeur. Quand nous sommes dans l’apprentissage de quelque chose qui nous motive, nous apprenons beaucoup plus vite.

    D’exercices en exercices, j’ai pris goût à cette nouvelle forme de photographie. Studio d’objets, de natures mortes, les premières séances de photo de grossesse et aussi de portraits.

    Comme ce soir du 12 mai 2010 où nous avons fait une séance portrait avec Céline. Cette séance a été un vrai moment de bonheur rempli de complicité. Sur toutes les photos prises ce soir-là, j’en ai gardé quatre qui me plaisent toujours autant.

    Portrait de Céline en studio
  • Où je cherche à évoluer…

    Après avoir acheté mon premier reflex numérique, j’ai commencé à trouver mes photos banales.

    J’ai donc appris à mieux maîtriser l’outil, j’ai lu des livres, j’ai abandonné le mode automatique pour utiliser les modes semi-automatiques ou manuel.

    J’ai également acheté un téléobjectif pour compléter l’objectif de base reçu en kit.

    Mais il manquait quelque chose… Mes photos restaient assez banales.

    Je me suis donc inscrit à des cours du soir en photographie. C’était en 2007. J’ai appris beaucoup durant ces quelques années de cours du soir. J’ai expérimenté le studio, le tirage argentique, la composition, découvert des photographes, etc. J’ai vraiment senti un bon en avant dans la qualité de mes images.

    C’est aussi l’époque où j’ai fait des photos dans tous les domaines : animalier, sport, reportages, portraits, studio, paysage etc. J’en garde de chouettes souvenirs et quelques photos très intéressantes.

    Mon Canon EOS 350D avec l’objectif Canon EF 70-300mm 1:4-5.6 IS USM

    Une belle période, pleine d’apprentissage et durant laquelle j’ai pu vraiment sentir mon évolution dans ma pratique photo. La courbe de progression fût vraiment fulgurante.

    Pour ensuite passer au statut d’indépendant complémentaire le 1er avril 2009… Et ce n’était pas un poisson d’avril ! (Mais ça, je l’ai déjà écrit 😉 )

  • Où je passe à un niveau supérieur…

    Durant quelques années, je me suis contenté de mon Sony DSC-S30 pour faire des photos de mon quotidien.

    Souvenirs de sorties, photos de famille, prises de vues lors de balades, tests en tout genre… Dès que l’occasion se présentait, je prenais mon appareil et je photographiais tout ce qui passait dans ma vision.

    Mais suite à une panne de son appareil photo compact, ma compagne a dû acheter un nouvel appareil. Comme je suivais l’actualité photo, j’ai pu la conseiller pour l’achat d’un appareil. De plus, nous avons pu tester cet appareil lors d’une fête anniversaire car des invités avaient le même modèle.

    Voici donc mon premier contact avec un reflex numérique : un Canon EOS 350D. Quand ma moitié l’a acheté, j’ai aussi pu l’utiliser de temps à autre. Et tout doucement, je commençais à ressentir les limites de mon compact Sony.

    En ce jour de 2006, le 30 juin, c’était l’inauguration des quais à Tournai après de gros travaux de rénovation. Ce soir là, j’ai voulu faire quelques essais avec le 350D. Et c’est à ce moment-là que je me suis décidé pour évoluer dans mon matériel.

    Cette photo a été pour moi le déclic : j’étais arrivé aux limites de mon appareil. Il me fallait un reflex numérique pour faire des photos de meilleure qualité.

    Quinze jours plus tard, j’étais l’heureux propriétaire d’un Canon EOS 350D. Avec celui-ci, j’ai passé plusieurs années à apprendre à l’utiliser. A explorer ses possibilités, à le pousser dans ses retranchements.

    Pour ensuite passer au statut d’indépendant complémentaire le 1er avril 2009… Et ce n’était pas un poisson d’avril !

  • Mes premiers contacts avec la photographie…

    D’aussi loin que je me souvienne, la photographie a fait partie de ma vie. Enfin, pas comme photographe ! Quoique…

    C’est durant mon enfance que j’ai eu mes premiers contacts avec la photographie. D’abord grâce à mon papa qui faisait des photos de familles durant les vacances, les évènements familiaux et lors d’occasions spéciales. Certaines photos me reviennent en tête, comme cette photo où j’étais en train de manger une croquette lors d’une fête. J’avais demandé à Papa de prendre cette photo. Si cette photo me semble si banale aujourd’hui, elle fait néanmoins resurgir ces moments du passé.

    Je me souviens de ces après-midi ou soirées diapositives durant lesquelles Papa projetait les photos de famille ou de vacances. Ces petits bruits spécifiques lorsque la dia laissait sa place à la suivante. Les longues discussions pour expliquer les photos. Ou encore les soucis techniques quand le projecteur se faisait vieux… Et Papa qui perdait parfois patience…

    Je me souviens aussi de ma première communion. Nous avions eu à prêter un Instamatic pour faire quelques photos durant cette journée.

    Ce fût un des premiers moments où j’ai fait des photos, comme tous les enfants, sans vraiment réfléchir aux photos que je faisais. Mais elles restent des souvenirs que je peux, encore aujourd’hui, contempler. Dont cette fameuse photo que je pensais complètement ratée qui a été prise accidentellement alors que je courais derrière mon frère.

    C’était l’époque où il fallait déposer les pellicules chez le photographe et attendre le retour de celles-ci pour savoir si les photos étaient réussies ou ratées.

    C’est aussi vers cette époque que j’ai pu suivre un stage en photographie. J’ai ainsi pu découvrir la magie de l’agrandisseur, de l’effet de la lumière sur le papier photosensible, l’attente et la découverte progressive de l’image qui apparaît dans son bain de révélateur. Sans oublier de plonger le papier dans le bain de fixateur, le rincer dans l’eau avant de le laisser sécher.

    Les années passèrent… Les appareils photos jetables sont apparus. J’ai encore fait des photos lors d’excursions ou autres évènements, mais de façon très sporadique.

    Et la photo s’est peu à peu dissimilée dans la brume de mes souvenirs…

    Jusqu’à cette année 2002…

    Mais vous connaissez déjà cette histoire.

  • Au commencement…

    En ce mois de janvier 2002, un événement va marquer mon avenir pour de longues années. Je ne le sais pas encore, mais l’impact sera encore présent près de 20 ans plus tard.

    Un beau jour de janvier 2002, j’apprends que j’ai gagné un premier lot à un concours. À cette époque, je suis encore un jeune client de la banque Fortis et des concours sont réguliers pour les comptes jeunes.

    Bref, l’étonnement fût gigantesque et la joie tout aussi grande. Pour une fois que je gagne quelque chose ! Et quel prix ! Un appareil photo numérique compact. Le modèle n’est pas le plus évolué, mais pour l’époque c’était déjà fameux : un Sony Cyber-shot DSC-S30 de 1,3 Méga pixels (1,6 en extrapolé) et surtout, un accessoire qui me manquera durant les longues années qui suivirent, un écran sur rotule ! Oui, déjà en 2002 il existait les écrans orientables.

    Ainsi commence une longue épopée dans le monde de la photographie. À moins que cela n’a été que la redécouverte d’un monde oublié depuis de nombreuses années ?

    À suivre…

  • Bonjour tout le monde !

    Bienvenue sur mon blog.

    Cela fait déjà longtemps que je réfléchis à faire un blog sur mon activité de photographe. C’est chose faite. Je vous y partagerai de l’actualité, mes activités photos, mes réflexions, etc.

    J’espère être assez constant dans les publications. Mais comme c’est tout nouveau pour moi, je risque de manquer de rigueur.